lundi 21 juin 2010

Cantonale de Tourcoing Nord-Est : votez Baeckeroot !

Dimanche 27 juin, les électeurs du canton de Tourcoing Nord Est seront appelés à élire leur prochain conseiller général.
La Nouvelle Droite Populaire Flandre Artois Hainaut appelle à voter massivement en faveur de Christian Baeckeroot.
Celui-ci possède en effet deux atouts majeurs qui font de lui le meilleur candidat de la droite nationale et identitaire :
- Christian Baeckeroot est un homme fidèle. Fidèle à ses idéaux, fidèle aux fondamentaux de notre famille politique, toute son action publique est marquée du sceau de l’intégrité politique et morale.
- Il possède les compétences nécessaires pour défendre au mieux les intérêts des contribuables. Spécialiste des arcanes de la comptabilité publique, incollable sur les grands dossiers locaux grâce à plus de vingt ans au service des Tourquennois, il est l’homme le plus indiqué pour combattre efficacement les politiques irresponsables de la gauche dans notre département.
Alors, les 27 juin et 4 juillet prochain, votez utile : votez Christian Baeckeroot !

Luc Pécharman
Membre du bureau national de la Nouvelle Droite Populaire
Responsable Flandre Artois Hainaut

mardi 15 juin 2010

Défense des libertés individuelles (2) ou les idées qui puent (1)

Une fois n’est pas coutume, l’officine affairiste bobo SOS racisme sort une campagne de propagande à laquelle je ne peux que souscrire. Celle-ci s’intitule : « Méfiez vous des idées qui puent ! » et est sous-titrée : « Ne devenez pas le porte-parole de l’intolérance »
Deux concepts parfaitement défendables.
Les idées qui puent d’abord. L’affiche ne les précise pas, aussi vais-je me faire un devoir de les développer ci-dessous.
Commençons par la plus grosse idée qui pue :
1/L’immigration est une chance pour la France. Faux.
L’immigration pose des problèmes à tous les niveaux de notre société, et même au-delà. Elle à un cout extrêmement important, entraîne le niveau des rémunérations à la baisse, dénature notre identité, vide les continents sous-développés de leur substance et sert in fine une globalisation/mondialisation qui ne cherche que notre asservissement. Comme chance, on repassera.
2/L’islam est une religion de paix et de tolérance parfaitement soluble dans notre société. Faux.
L’islam, qui ne fait aucune différence entre pouvoir spirituel et séculier, ne reconnait comme terre de paix que les pays vivant sous domination islamique. Il n’existe pas d’islam modéré, seulement un islam qui avance à visage découvert, et un autre, de loin plus pernicieux, qui dissimule ses intentions et avance pas à pas par de petites victoires successives. Une mosquée par ci, de la nourriture halal par là, une école par ci, des horaires spécifiques par là… Oui, vraiment, l’idée d’islam en Europe pue aussi.
3/La discrimination positive permettra le vivre-ensemble. Faux.
La discrimination positive est un non-sens qui rend prioritaire ceux qui ont le moins de légitimité dans notre pays. Non seulement elle léserait les enfants de la nation, mais accentuerait encore le ras-le-bol de nos concitoyens vis-à-vis d’une immigration/invasion qu’ils supportent de plus en plus mal.
Ce ne sont ici que quelques exemples d’idées qui puent. D’autres viendront au fil des jours.
Pour ce qui est de ne pas devenir le porte-parole de l’intolérance, encore une fois : Bravo.
Depuis trop d’années, des lois liberticides interdisent aux citoyens des principaux pays d’Europe de s’exprimer sur certains sujets. Nos libertés individuelles sont bafouées quotidiennement, et chacun finit par s’autocensurer de peur de déplaire à telle communauté ou tel lobby. C’est inadmissible. Le dernier exemple en date de cette intolérance est l’interdiction de l’apéro festif prévu ce vendredi à la goutte d’or.
Alors, tous ensemble : Non aux idées qui puent, non à l’intolérance !

lundi 14 juin 2010

Défense des libertés individuelles !

L’Italie a voté ce jeudi 10 juin 2010 une loi historique qui risque malheureusement de rester incompréhensible pour la plupart de nos compatriotes tant ils sont accoutumés à la partialité des juges et des médias.
Cette loi vise à limiter le nombre d’écoutes téléphoniques arbitraires en Italie. C’est une nouvelle avancée démocratique dont les italiens vont bénéficier.
Actuellement, il y a plus de 120000 personnes écoutées par an en Italie sur décision judiciaire. C’est beaucoup plus que nécessaire pour combattre la criminalité. A titre de comparaison, la France effectue environ 25000 écoutes judiciaires par an : moins qu’en Italie alors que notre pays n’est pourtant pas très en pointe dans la défense des libertés individuelles et collectives.
La raison de ces écoutes surnuméraires chez nos voisins italiens : des juges de gauche (un pléonasme quel que soit le pays en Europe) autorisent des écoutes sur un maximum de militants ou hommes politiques de droite afin notamment de transmettre ces informations à la presse (de gauche elle aussi mais n’abusons pas des pléonasmes). Celle-ci utilise ensuite les transcriptions de ces écoutes pour créer des "scandales".
Pourtant, les faits révélés ne sont pas particulièrement alarmants : adultère, homosexualité, relations avec des prostitués, drogue, alcoolémie, téléphone rose. Ces faits, qui ne sont pas franchement graves et qui pour beaucoup ne sont pas illégaux, relèvent le plus souvent de la vie privée. Vie privée qui est un droit de la personne (cf. par exemple l’article 9 de notre Code civil).
C’est à l’aune de ces informations qu’il faut juger la levée de bouclier des journalistes, magistrats et hommes politiques de gauche : leurs petits arrangements sordides vont prendre fin et fissa ! Citons d’ailleurs Silvio Berlusconi lui-même : "Seul un petit lobby de journalistes et de magistrats est hostile à cette loi, alors que la grande majorité des citoyens en ont assez de décrocher leur téléphone en se demandant à chaque fois s'ils ne sont pas espionnés". On les comprend.
De plus, puisque la gauche prône la liberté des mœurs et la tolérance, il serait logique qu’elle ne s’en offusque pas ensuite, de surcroît en utilisant les méthodes dictatoriales qu’on lui connaît. Eh oui, monsieur le bobo de "gôche" : intercepter pour des raisons uniquement politiques les conversations d’autrui, c’est dictatorial ! Et ça commence à user les nerfs des victimes.
Quant à la presse française, elle défend comme toujours l’indéfendable en ne donnant la parole qu’à ceux qui jugent cette loi attentatoire aux libertés ! Un comble pour un texte qui vise justement à protéger les droits constitutionnels des citoyens italiens.
La mauvaise foi doit être une obligation déontologique dans cette profession. Mais heureusement, le sémillant Silvio veille au grain. Il serait souhaitable que cet homme vive assez longtemps pour mettre à bas toutes les traditions ignobles que la gauche a imposé en Italie. Même s'il le fait le plus souvent pour défendre ses intérêts personnels, les italiens en profitent au passage !
Jan Van Hemart